Octobre 2024

19/10/2024

Finalement pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple :

Les attaches des élastiques sont dans un simple carré de TPU avec un espace réduit pour passer l’élastique plat et ce sont les propriétés de la matière qui font office de serrage !

Un peu difficile à passer l’élastique au montage mais une fois en place le système fonctionne aussi bien que ceux de chez Beiter avec le ressort, qu’il est devenu assez difficile à trouver au détail, la faute aux importateurs qui ne les proposent pas.

Malheureusement, je ne vends pas ces créations de bracelet, beaucoup trop longues et difficiles à imprimer, il faut parfois recommencer 3 fois ou plus le travail pour en obtenir un qui serait vendable…

18/10/2024

Je ne conseille pas habituellement d’ajouter un grip sur l’ElasTrainer lorsqu’il est utilisé avec le kit poulies.

Mais comme j’ai eu quelques demandes, j’ai créé un petit grip très bas qui améliore le confort.

Ce grip pourra également être ambidextre. J’ajouterai prochainement cette option sur le formulaire.

16/10/2024

Quand les bracelets longs industriels sont en rupture de stock, et tardent à venir.

Un modèle double sur mesure en TPU évitera en attendant de s’arracher le bras avec les nocksets métalliques !

Quelques heures de dessin pour modéliser la forme et une quinzaine d’heures d’impression pour trouver le bon réglage machine et le tour est joué !

Il est juste bien dommage que le TPU reste toujours autant un cauchemar à imprimer.

C’est vraiment le filament le plus difficile que j’utilise et le résultat n’est jamais garanti, et c’est bien regrettable car c’est un matériau fantastique.

14/10/2024

Ce moment magique ou la puissance tient toute seule !

Je ne vais pas décrire ma technique point par point comme une liste à la Prévert, le l’ai déjà fait sur Integralsport, il y a bien des années et je doute quelle soit la même maintenant et n’intéressera pas grand monde vu mon niveau actuel…

D’ailleurs en fonction du tireur, tel ou tel placements ou éléments de la technique et son contraire fonctionnent. Je pourrais énumérer des dizaines de détails ou l’inverse d’un point précis qui donnera le même résultat en cible, tout est une question d’adaptation, de répétition et de confiance.

A condition bien sûr, de ne pas entraver les réactions naturelles de l’arc et de laisser un passage libre pour la corde.

On peut le constater chez les grands champions et les grandes championnes, sinon, nous aurions à faire à de parfait clone…

Mais il y a un point que je veux partager, pour ne pas dire un truc qui correspond à une sensation fine, au moment où le tireur ne peut plus vraiment penser car son attention est fixée à 100% sur l’objectif.

Celle que tout pratiquant appréhende, ressent de temps en temps, même avant de devenir un bon tireur.

Cette flèche ou tout se passe comme par magie, et avant même qu’elle sorte des doigts, on sait déjà qu’elle sera au centre de l’objectif.

C’est ce qui fait la différence entre un amateur et un champion. Le champion multiplie cet instant spécial sur un très grand nombre de ses flèches.

Donc, je décris ce phénomène de la façon suivante :

Le tireur à force de répétition a mis en place des éléments techniques qui lui sont propres et qui fonctionnent avec sa morphologie et son mental.

Il ancrage sa flèche sous son maxillaire et la puissance s’annule pendant quelques secondes car il est en équilibre au niveau de la force de son arc et c’est comme si elle était bloquée, verrouillée entre ses deux épaules.

Je compare et visualise ce moment comme sur une arbalète field, ou la corde vient s’accrocher sur la noix ou avec ma machine à tirer quand les doigts mécaniques retiennent la force de l’arc, ça tient tout seul !

La puissance est donc maintenue sans effort et le tireur à 3 à 4 secondes pour placer une visée calme dans le centre de son objectif, avant de lancer le GO avec les muscles de son dos, car sa pointe n’est qu’à un petit millimètre du bout du clicker, donc il n’y a qu’un très petit effort à réaliser pour laisser s’envoler la flèche.

Et en pleine confiance, il sait que l’échappement de la corde entre ses doigts ne viendra pas perturber le vol de la flèche vers la cible, car il a mis en place un ancrage fort et régulier, qui quoi qu’il arrive restera dans l’axe.

Il faut donc réunir et réussir à mettre en place ses deux éléments, une libération souple et régulière et un ancrage (je sais, c’est un vieux terme…) ou la puissance tient toute seule quelques secondes.

C’est toujours avec cette sensation et à elle seule que j’ai réussi certains de mes scores que je pensais impossible à réaliser. Si le tireur doit lutter à cet instant, l’exécution de son geste ne sera pas fluide.

Un tireur qui ne doute pas de son échappement et qui obtient ces quelques secondes magiques, sera toujours plus performant qu’un tireur qui n’a pas conscience de l’intérêt de la répétition de ce moment magique !

C’est qu’il n’aura pas encore mis en place les éléments pour l’obtenir.

Il n’y a pas de flèches mal tirées, il n’y a que des flèches mal préparées (Darrell Pace) !

Facile à écrire, mais pas facile à faire !

C’est un axe de travail qui revient perpétuellement dans ma façon de voir le tir à l’arc, quelque soit l’arc et la discipline.

Je l’ai eu au début de façon presque inné assez rapidement, sans trop savoir comment et pourquoi, comme par instinct.

Puis il arrive des hauts et des bas, et j’ai perdu plusieurs fois cette grâce pour ne pas dire ce graal mais comme je sais que c’est la solution pour se faire plaisir, je travaille avec acharnement pour retrouver toujours cette sensation, qui permet d’avoir un tir calme et apaisé.

C’est la touche finale de tout travail de reprogrammation, l’aboutissement !

La puissance qui tient toute seule qui s’annule presque, une visée calme pendant 3 à 4 secondes, un échappement souple et régulier dans l’axe par une décontraction des muscles fléchisseurs des doigts de corde.

Finalement le tir à l’arc, ce n’est pas si compliqué !!!

13/10/2024

Annoncés par des indiscrétions, il y a deux à 3 ans, qui a eu ou touché ces tubes ?
les tubes Leonyx sont-ils une nouvelle arlésienne ?

13/10/2024

Être ou ne pas être ? Chacun pourra prendre un petit morceau de ce retour d’expérience…

J’ai toujours été convaincu par l’avance (à chaque époques) et de la supériorité technique pour performer ainsi qu’à une adaptation par rapport à son style de tir de son matériel et à un réglage parfait de son arc ainsi qu’à une forme physique (cardio et jambes solides) par rapport à l’activité et pour la musculature spécifique du tireur à l’arc, la répétition sans relâche avec un volume allant de 60 000 à 100 000 flèches par an en fonction de l’organisation de sa vie.

Donc en tant que sportif de haut niveau intégré à l’Insep, 300 flèches par jour et en ayant une activité salariale 150 flèches par jour.

Actuellement, j’aurai tendance à dire que je ne m’entraine plus, avec seulement une centaine de flèches par jour…

Je pense qu’un champion n’a pas besoin d’un marabout des boyaux de la tête, un champion est un champion !

Faire du sport, n’est pas une maladie… enfin presque… voir une drogue !!!

Désolé pour ceux qui en font commerce, surtout à ceux qui le font sans avoir tenu un arc de leur vie, et qui n’ont pas découvert tous les blocages et démons qu’un tireur à l’arc peut trainer tout au long de sa carrière.

Il y a des techniques de relaxation, qui fonctionnent et qui n’ont pas besoin d’un psychologue pour être utilisées en tournoi, d’ailleurs très peu les mettent en pratique à l’entrainement…

Pour bien maitriser une technique, il faut s’entrainer !!!

Il fut une époque, qui n’a tuée personne, ou en minime (U15), je tirais 38 livres pour faire du FITA à 70m – 70m – 50m – 30m, puis en cadet (U18), 47 livres pour envoyer les flèches X7 en aluminium, 40% plus lourdes que les flèches en carbone, pour tirer à 90m – 70m – 50m – 30m.

Ayant une technique perfectible lié à un apprentissage erroné, utilisation des extenseurs des muscles des doigts de corde au lieu de la relaxation des fléchisseurs (la phrase qu’un entraineur ne doit jamais utiliser, d’ouvrir les doigts pour libérer le corde…) même avec les tubes en carbone, pour compenser cet échappement perfectible, j’ai toujours tiré autour de 48 livres en tournoi et pendant de nombreuses années 55 livres à l’entrainement.

Cette puissance excessive, j’en paie maintenant le prix avec de l’arthrose sur les doigts de corde… et pas sur les doigts de la mains d’arc, problème qui touche essentiellement pourtant les femmes…

Donc, même si je ne crois pas aux gurus des bizarreries du mental des tireurs, tout arme confondue et pas seulement des tireurs à l’arc, je ne suis pas négationniste et j’en ai expérimentés pas mal … !!!

Je l’ai déjà exprimé sur Integralsport, travaillant certainement beaucoup plus que les champions de mon époque, mais n’ayant jamais de récompense (championnat d’Europe ou du Monde) en n’accrochant jamais une des 3 premières places pour partir, peut-être par manque de talent, un matin à l’Insep sur l’ancien pas de tir, l’ordinateur central a dit STOP !

Dès que je mettais la main dans le grip et les doigts sur le corde, impossible de tracter la puissance de mon arc !

Le corps tout entier refusait d’exécuter un geste pourtant répété des centaines de milliers de fois.

C’était un avertissement ! Il fallait changer de vie…

Il s’en est suivi d’une reprogrammation complète après un arrêt de 6 mois et d’un retour sur les pas de tir 2 ans plus tard avec un niveau largement supérieur à celui que j’avais laissé sur le béton du pas de tir de l’Insep.

Donc rien n’est jamais perdu !

C’est au tireur de vouloir s’en sortir, cela vient de l’intérieur, pas besoin d’un marabout…

De la ténacité, de la persévérance, de l’exagération parfois même, cela j’en ai un plein capital, c’est ce que l’on appelle de la passion.

Je n’ai jamais eu une technique me permettant de faire 600 points en salle car pas assez régulière.

Mais approcher les 590 points et dépasser les 580 points en tournoi plusieurs fois avec du travail a été possible.

Je dirai que j’ai un socle de base à 570 points depuis toujours, score que j’ai dû faire environ 200 fois en tournoi.

Il faut toujours se trouver des excuses !!!

Il a fallu que je monte mon petit atelier et partant d’une feuille blanche, pendant cette période, finalement les choses tombent bien, j’ai eu à combattre des tennis elbow au bras d’arc pendant 2 ans puis par compensation, au bras de corde également pendant 2 années.

S’en est suivi de 2 années de privation mondiale par les pays riches de nos libertés individuelles… soit au total 6 années sans dépasser 5000 flèches par an.

Quand l’envie et la motivation sont revenues, il fut impossible de reprendre mes branches de 48 livres !!!

Là, ce n’était pas un souci mental, mais bien un problème physique !!!

Il y a deux ans, j’ai donc décidé de reconstruire ma séquence de tir en reprenant avec 18 livres.

J’en ai déjà parlé sur FB. Avec pour objectif de monter la puissance, de 2 livres en 2 livres grâce à des paires de branches d’entrée de gamme et surtout grâce à ma poignée Gillo GT qui permet une grande amplitude de puissance avec la même paire de branches, merci Vittorio !

Annoncer que je tire 18 livres a été difficile, c’est une question de fierté, mais passé ce truc dont tout le monde se moque, j’ai mis en place une méthode :

Chaque entrainement pour passer à la puissance supérieur doit être réalisé avec 90 % de flèches correctement exécutées.

Sinon, retour à la puissance inférieur.

Je pensais aller très vite mais deux années après, j’en suis seulement à 38 livres.

J’ai fait un essai avec 40 livres pendant un moment, mais raisonnablement pour l’instant, deux livres de moins fonctionnent mieux.

Par contre curieusement, la régularité de ma technique, c’est améliorée en approchant les 38 livres, comme si le corps avait une mémoire des fortes puissances que j’ai pu utiliser pendant de nombreuses années.

Avec très régulièrement 9 entrainements par semaine d’une centaine de flèches par séance, petit à petit le physique reprend ses droits.

Mais avec quel niveau ?

Sur un visuel à 18 mètres régulièrement, mon groupement vaut entre 570 et 580 points mais dès que j’installe une cible à la place de mon morceau de papier, je perds 1 point par flèche !!!

Dès que la note sur 10 est fixée sur le stramit, ma technique qui passe sans trop d’encombre sur un visuel, ne passe plus aussi souplement !

Car là, on ne triche plus, on peut quantifier, évaluer le nombre exact de points !

Le fameux, on est tous champions du monde sur la paille prend une fois de plus tout son sens.

C’est donc bien un souci d’acceptation de mon niveau actuel qui est en jeu.

Même à 4 mètres de la cible dans mon couloir, sur mes 35 visuels sur une feuille A4 reproduisant la visée d’une cible à 18 mètres, j’avais le même blocage, il y a encore 2 à 3 mois.

Cette étape est passée, j’arrive maintenant à avoir une visée relativement calme en faisant mes gammes et un geste qui ressemble à quelques choses, mais c’est assez récent !

Plus de 2 ans pour retrouver ce plaisir à maintenir mon grain d’orges au milieu d’une cible !

Je sais que j’arriverai à retrouver un niveau acceptable, pour moi et pour ceux qui m’observent.

C’est un long travail, ou il est impossible de sauter les étapes, certains diront détricoter les noeux au cerveau, reprendre confiance.

C’est un travail passionnant qui ne peut venir que de soi, de sa propre volonté et certainement pas d’un psychologue, mes doutes, mes craintes et mon passé ne regardent que moi !

Mais quel plaisir de pouvoir enfin me retrouver sur un pas de tir avec du monde autour de moi à me bruler les doigts sans avoir honte de mon savoir-faire et de le transmettre !

C’était dans la série « être ou paraitre»…

11/10/2024

Vous voulez changer de poignée, mais votre grip personnalisé est l’unique, celui ou vous avez fait tous vos meilleurs scores ?

C’est pas mal de travail, mais je peux réaliser cet upgrade, hybridation, car vous changez de modèle mais aussi duplication car votre grip adoré a été modifié par vos soins ou par votre entrainer pour 110 euros la duplication seule ou 120 euros l’hybridation et la duplication ensemble !

Ce n’est pas donné, mais faites faire un devis chez les quelques concurrents qui réalisent ce genre de projet… je pense être un des moins cher, si ce n’est le moins cher.

10/10/2024

J’adore le recyclage marketing de la Xceed (2020) par Hoyt, devant le peu de succès des deux dernières poignées boudées par les grands champions et les grandes championnes…

Qui a peut-être couté la place à son ingénieur !

06/10/2024

Une belle revanche ! Et une belle boulette de ma part !

J’ai conseillé à Emmanuel de faire du 2X50 m pour cette saison 2023/2024 car je sentais qu’il était un peu juste pour aller chercher une place en championnat de France sur le 2×70 m, pas de terrain d’entrainement à cette distance dans la commune. Mon diagnostique était le bon car il reste à 3 places du cut sur le Fita.

Mais sur le 2X50 m, il prend la tête du classement national 2024 !

Sauf que la fédération a interdit aux jeunes de faire du fédéral ! Le 2x50m était au moment où ils ont démoli le FITA 4D et le fédéral 30-50m une passerelle pour le 2x70m…

Donc pas de championnat de France aux couleurs pour Emmanuel !

Stupeur au moment de vouloir s’inscrire ! Et pas moyen d’accrocher une place en S1 en surclassement où il pointait à une honorable 11ième place !

Et bien sa saison n’aura pas été vaine ! 45 ans après son mauvais conseilleur, il rapporte à la 1ière Cie d’arc de Romainville, un second titre de champion de France Beursault ! Bravo Manu !!!

Entre ces deux photos une dizaine d’années et un patient travail pour monter sur la première marche et son second podium dans cette discipline traditionnelle !

06/10/2024

Un CustomGrip, un accessoire sur mesure qui peut faire la différence !

Quand le placement de la main est au millimètre près en un quart de seconde, c’est un souci en moins sur le déroulement de la séquence de tir et automatiquement quelques points en plus au bas de la feuille de marque !

Le formulaire CustomGrip (65 euros hors options particulières) pour concevoir son modèle :

https://forms.gle/spH3CuXgV2Rh9mD87

Le guide CustomGrip pour réfléchir aux nombreuses options :

Et si c’est trop difficile, un modèle clé en main, l’EcapGrip (49 euros) qui reprend une bonne partie des options du CustomGrip avec seulement 2 paramètres à choisir.

Il fera sans aucun doute la différence par rapport à un grip standard, si celui-ci ne correspond pas exactement à votre technique de tir :

https://forms.gle/TTEnK4FAQMqenYFZA

05/10/2024

La motorisation de mon EcapSpinner avance plus rapidement que je l’imaginais !

J’ai interfacé entre le moteur et la batterie un module électronique à 2 euros, qui réduit la vitesse autour de 2 tours par seconde.

C’est beaucoup plus adapté pour prendre des mesures sur la circonférence du tube que les 6 tours que procure nativement ce petit moteur.

Grace à Py et au diamètre de la molette Mathews en caoutchouc, cela fait faire une dizaine de tours au tube par seconde.

C’est largement suffisant pour évaluer la régularité du spine d’une flèche.

Je verrai si en réduisant le diamètre de la molette, il y en a une plus petite chez Mathews, si cela fonctionne aussi.

J’ai comparé une prise de mesure avec mon index et avec le moteur, il y a 1 ou 2 graduations d’écart, mais je ne sais pas laquelle des deux méthodes est la plus cohérente…

Je suis passé sur le comparateur Shahe, malgré qu’il ne soit pas Bluetooth sous Windows et je capture maintenant près de 3 fois plus de mesure dans le même temps.

Mon système n’est pas aussi perfectionné que celui de chez Fivics à 6 000 euros, mais il fait parfaitement le travail pour réunir des tubes qui ont les mêmes défauts et améliorer le groupement aux longues distances en constituant des lots similaires.

05/10/2024

Un test de 36 tubes en spine 500 à 5 euros qui ne sont plus distribués dont je tairais le nom…

Pas la même chose que les 36 ACE testées hier !!!

Elles étaient vendues pour du 0,008/1000 de pouce de rectitude…

Il n’y en a que 8 sur 36 qui répondent à ce critère… ou alors il faut comprendre que la mesure est 0,008 ou plus !!!

Même à 5 euros, il y en a 1/3 qui sont de vraies manivelles !

Mais surtout entre la plus souple et la plus rigide en moyenne sur la circonférence du tube, il y a 107 graduations ! Soit au bas mot 2 spines d’écart.

03/10/2024

Je n’ai jamais été très fan des Easton ACE. Mais il faut avouer que tous les produits de cette marque plus que centenaire estampillés Made in USA sont de grandes qualités.

Ce test de 3 douzaines d’ACE en spine 570 C3 montre que sur ces lots, l’écart de poids ne dépasse pas 2 grains (1,93 grains exactement entre le tube C3 le plus léger et le plus lourd !).

Et au niveau sur la moyenne des mesures de la circonférence des tubes, c’est seulement 15 graduations.

Avec un tri qui regroupe les tubes qui ont les mêmes défauts… on obtient des écarts pour le lot 1 de 4 graduations, pour le lot 2 de 2 graduations et pour le lot 3 de 9 graduations car deux tubes plombent le résultat qui serait sinon de 4 graduations.

Une fois trié par lots semblables, ces trois sets ne devraient pas sortir du 10 à 18 mètres avec un montage minutieux des accessoires sur le tube.

A 70 mètres sur 36 flèches soit 3 volées de 12 flèches tirées sans vent, des scores devraient osciller entre 350 et 355/360 points.

03/10/2024

J’ai enfin pu tenir dans mes mains, la poignée du passé qui était à l’époque du futur, la magnifique copie en Carbone de la Yamaha Eolla par WNS sous le nom d’Eolla 20 en montage ILF.

C’est une poignée milieu de gamme, qui devrait trouver son public en dehors des nostalgiques de cette marque par celles qui recherchent une belle poignée légère ! Elle pèse 1050 grammes !